samedi 2 mai 2009
Je crois que c'est la pire chose au monde. A trop (ou trop peu, selon les jours) dormir, mon cerveau agit en autosuffisance. Je déteste ça, même si ça me procure quelques secondes agréables. Je déteste me réveiller en sursaut alors que je rêve de lui. Encore, toujours, un mois après, toutes les nuits ou presque. Je n'en peux plus. Me reconvaincre au réveil que tout ça n'arrivera plus, c'est de plus en plus douloureux. Il me manque. Il est parti. Il part bientôt. Il me manquera.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire