Etat des lieux

Ici, je peux. Une erreur, pas dramatique en soi, mais pas anodine, qui m'a lancé (forcément trois heures après la fin) une grosse crise de panique. Alors en soi c'est pas la fin du monde, d'autres auront fait la même, sinon pire. Mais il se pourrait que la pneumopathie à CMV ait raison de ma future carrière. Un souvenir qui me dit que j'ai peut être tort, et qu'on verra ce qu'on verra. Conclusions: on verra, de toutes façons.
Le temps suspendu pendant trois heures, finalement pas plus compliquées que d'habitude en globalité si je consent à être honnête. Mais une nuit qui s'annonce finalement bien plus difficile que la précédente.

Demain, la même, en mieux, toujours.

Ma séance fatidique d'épilation n'avait rien de toute la chose effrayante à laquelle je m'attendais. Une esthéticienne plutôt sympa, mettant à l'aise, parlant juste ce qu'il faut et surtout pas plus, et prudente à la pose, sauvage à l'arrachage de cire. Une bonne rigolade quand je pense aux contorsions-positions qu'elle m'a fait prendre pour la bonne cause.

Plus d'encouragements que je n'en attendais... Les plus importants, même si je ne sais pas comment y réagir. Et maintenant, je suis exécrable, avec des raisons que je ne peux pas donner aux autres.